mercoledì 30 aprile 2014

Bandi e concorsi: Teatro Argot | Casting Night

TEATRO ARGOT STUDIO

presenta

CASTING NIGHT
UN FORMAT DI MATTEO TARASCO

CASTING NIGHT è un progetto innovativo che ha l’obiettivo di promuovere il talento di attori e attrici e creare occasioni d’incontro e scambio.

CASTING NIGHT si articola in tre fasi SELEZIONE – ESIBIZIONE – PROMOZIONE

SELEZIONE
Requisiti necessari per partecipare alla selezione: essere un attore/attrice professionista ed aver compiuto la maggiore età.
Per partecipare alla selezione invia foto, curriculum e un video-provino di durata massima di 5 minuti, all’indirizzo di posta elettronicacastingnighteatro@gmail.com entro e non oltre il 3 maggio 2014.  Per l’invio del video-provino si consiglia di allegare link youtube/vimeo privato oppure caricare il file tramite www.wetransfer.com.

Scegliere un monologo di una delle opere dei seguenti autori:  William Shakespeare, Molière, Carlo Goldoni, Anton Cechov, Luigi Pirandello. Puoi partecipare anche inviando più di un video-provino per autori diversi.
 
La partecipazione alla selezione e alle successive fasi del progetto è gratuita. 
ESIBIZIONE
Se verrai selezionato parteciperai ad una delle 5 CASTING NIGHT  che si svolgeranno al TEATRO ARGOT secondo il seguente calendario:
lunedì 2 giugno 2014    SHAKESPEARE CASTING NIGHT
martedì 3 giugno 2014   MOLIERE CASTING NIGHT
mercoledì 4 giugno 2014  GOLDONI CASTING NIGHT
giovedì 5 giugno 2014  CECHOV CASTING NIGHT
venerdì 6 giugno 2014  PIRANDELLO CASTING NIGHT

Ogni sera si esibiranno 6 attrici e 6 attori: ognuno avrà a disposizione max 5 minuti per l’esibizione. Ogni serata verranno decretati 2 finalisti, 1 attrice e 1 attore, scelti ad insindacabile giudizio degli spettatori che esprimeranno una preferenza per categoria.

Le 5 attrici finaliste e i 5 attori finalisti avranno l’opportunità di esibirsi nella serata finale di sabato 7 giugno 2014 al termine della quale, ad insindacabile giudizio degli spettatori, verranno decretati i due vincitori (una attrice e un attore). 
PROMOZIONE
I due vincitori avranno l’opportunità di proporre un loro spettacolo che verrà inserito all’interno della programmazione del Teatro Argot per due repliche nel corso della stagione 2014/2015. 

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venerdì 25 aprile 2014

Comunicati: CANDELAIO - une pièce de Giordano Bruno

Una delle nostre collaboratrici, Valentina Nesi, si è trasferita momentaneamente a Parigi. Anche al di fuori dei confini nazionali continua a nutrirsi di teatro e ci segnala questo evento, di cui diamo notizia pubblicandone il comunicato.  Perché anche se lontano c'è un po' d'Italia in questo spettacolo.

VENDREDI 25 et SAMEDI 26 AVRIL 2014 h 19.00
THEATRE LES DECHARGEURS
3 Rue des Déchargeurs
75001 Paris

"L’unique pièce théatrale de Giordano Bruno présentée dans le cadre du Festival Shakespeare 450"!

Metro: Châtelet (lines 1, 4, 7, 11, 14)
RER: Châtelet / Les Halles (lines A, B, D)

Contact
Adresse Courriel lesdechargeurs@gmail.com
www.lesdechargeurs.fr

Réservation
Magasins Fnac / www.fnac.com

0892 68 36 22
01 42 36 00 50
www.lesdechargeurs.fr

La Société Francaise Shakespeare va presénter, dans le cadre SHAKESPEARE 450 deux représentations exceptionnelles du spectacle Chandelier (Candelaio), l’unique pièce théatrale écrite par le philosophe Giordano Bruno lors de son séjour à Paris. Une satire poétique, féroce sur le “monde renversé” de son temps. Une oeuvre théatrale prélude aux grands dramaturges tels que Shakespeare, Molière, Goldoni, Rostand.

Un programme d’événements du 21 au 27 avril – mises en scène, expositions, lectures, film-concert – pour célébrer le quatre cent cinquantième anniversaire de la naissance du poète anglais William Shakespeare, son influence sur la création littéraire et artistique en France. Réunis pour un congrès d’une semaine, des spécialistes et amateurs de tous pays interrogeront le sens aujourd’hui de l’œuvre la plus jouée et lue dansle monde.
Au programme, un large éventail de thèmes d’étude, sur les divers modes actuels de réécritures de l’œuvre shakespearienne, textuelles, scéniques, filmiques, sa place dans la réflexion scientifique et la culture populaire, les développements théoriques, le système des commémorations, la fabrique du personnage.

CANDELAIO
La Société Francaise Shakespeare va presénter, dans le cadre SHAKESPEARE 450 deux représentations exceptionnelles du spectacle Chandelier (Candelaio), l’unique pièce théatrale écrite par le philosophe Giordano Bruno lors de son séjour à Paris. Une satire poétique, féroce sur le “monde renversé” de son temps. Une oeuvre théatrale prélude aux grands dramaturges tels que Shakespeare, Molière, Goldoni, Rostand.
Le congrès international « Shakespeare 450 » présente «Candelaio» («Le Chandelier») de Giordano Bruno au Théâtre Les Déchargeurs, le 26 avril à 19 heures. Il «Candelaio» est une adaptation du «Candelaio, commedia del Bruno Nolano, accademico di nulla accademia, detto il Fastidito», publié à Paris, chez Guglielmo Giuliano en 1582, et est l’unique pièce théâtrale écrite en italien «vulgaire» par le grand philosophe libre-penseur lors de son séjour à Paris. Génie éclectique, Giordano Bruno se révèle un écrivain original et vivant. Comédie composée de plusieurs comédies, il «Candelaio» offre une structure innovatrice et unique par rapport à la comédie du XVIème siècle, une satire poétique et féroce sur le “monde renversé” de son temps. Giordano Bruno se moque du pétrarquisme (Boniface), de la fausse science alchimique (Bartolomeo) et de la tradition humaniste latine jugée trop formelle (Manfurio) avec une autonomie radicale par rapport au language établi. Le language de Bruno est plein de passion, sans laquelle il n’y a pas possibilité de connaissance. On y perçoit l’auteur dans l’acte même de l’écriture. Angela Antonini et Paola Traverso ont mis en œuvre une dramaturgie toute spéciale. L’actrice joue à elle seule tous les personnages du «Candelaio», une multitude de voix brunienne qui changent tout le long de la représentation. La mise en scène est résolument originale. L’actrice apparait d’abord comme une ombre chinoise puis sous différents costumes, chapeaux et vêtements. Elle parle dans les dialectes napolitain, florentin, vénitien et sicilien du Cinquecento, un jonglage de mots que l’on peut suivre facilement grace aussi aux sous-titres en langue francais.

L’actrice passe d’un masque à l’autre, profère, débite, éructe, crache des mots que l’ imagination aide à comprendre. C’est au grand philosophe qu’on va rendre voix et corps sur la scène pour continuer, comme l’écrit Josè Saramago, à crier avec lui. Giordano Bruno intéresse aujourd’hui tant la philosophie que la poésie, tant l’histoire des sciences que l’art dramatique. Il «Candelaio» représente un travail essentiel pour la scène théâtrale européenne, un prélude aux œuvres des grands dramaturges tels que Shakespeare, Molière, Goldoni, Rostand et même à l’ expérimentalisme radicale de Gadda et Joyce.

Presse
Festival Bruniano ♥♥♥
La mise en scène est résolument originale (…) C’est prodigieux! (…) Angela joue comme écrit Giordano Bruno.
BabylonPost
Une fusion originale entre ricerche théâtrale, artistique et philosophique.
Festival Bruniano ♥♥♥
Les spectateurs éberlués ont affaire à une personne unique qui donne vie à de multiples personnes.
BabylonPost
La grande modernité du Candelaio de Bruno (…) L’intelligence collective de l’entière pièce du Candelaio est notre maitre de vie.

Festival Bruniano ♥♥♥
L’artiste passe d’un masque à l’autre, profère, débite, éructe, crache des mots. C’est un véritable corps à corps avec elle-même qu’elle réalise dans sa métabolisation du texte de Bruno. Les contorsions de son corps sont celles du texte brunien. Les spectateurs éberlués ont affaire à une personne unique qui donne vie à de multiples personnages. C’est comme un immense souffle qui prend de nombreuses figures. C’est prodigieux : quelle connaissance du texte, de la psychologie des personnages, de leurs rapports de force. Et surtout ce souffle unique qui donne vie et force à chacun des masques en jeu. Angela joue comme écrit Giordano Bruno : c’est une matière infinie en perpétuel travail d’elle-même : la démystification faite chair !
Jean-François Malherbe ("La démystification faite chair!", Nola, 22 Febbraio 2014)

DAILY PROGRAMME (CULTURAL EVENTS)
Monday April 21: Dinner-trip on Bateaux-mouches on the Seine, or pre-screening of Othello, directed by Orson Welles, in a digitally remastered print
Tuesday April 22: Film-concert, Hamlet, directed by Svend Gade, with an original score by Robin Harris (invitation of the Société Française Shakespeare). Due to Patrice Chéreau’s untimely death, the option for Comme il vous plaira, Théâtre de l’Odéon/Ateliers Berthier, is replaced on Thursday April 24 by Tartuffe, directed by Luc Bondy
Wednesday April 23: Birthday party, including a piano recital and the reading of excerpts fromLettres à Shakespeare
Thursday April 24: I Capuleti e i Montecchi, directed by Bruno Campanella, Opéra Bastille; or Shakespeare’s Macbeth, directed by Ariane Mnouchkine, Théâtre du Soleil (Cartoucherie)
Friday April 25: Les Enfants du Paradis, directed by Marcel Carné, Cinéma Le Louxor; or Giordano Bruno’s Candelaio, directed by Angela Antonini and Paola Traverso
Saturday April 26: Othello, directed by Léonie Simaga, Comédie française/Théâtre du Vieux-Colombier or Giordano Bruno’s Candelaio, directed by Angela Antonini and Paola Traverso
Sunday April 27: Generaly assembly of the Société Française Shakespeare
Visit to the crypt of the Basilica of Saint-Denis, and a performance: “Royal Imagery”
Sorbonne 23 avril 2014
Journée Théâtre
Interview with Angela Antonini and Paola Traverso

***********CANDELAIO A LA SORBONNE*********************
Mercredi 23 avril h. Journée théâtre (entrée libre)
Amphi Louis Liard (Sorbonne)
Entrée h15.00 et h18.00 : Interview with Angela Antonini and Paola Traverso on their performance of Giordano Bruno’s Candelaio

http://www.shakespeareanniversary.org/shake450/programme/

Réservation
Magasins Fnac / www.fnac.com

0892 68 36 22
01 42 36 00 50
www.lesdechargeurs.fr


Info Accès
Théâtre Les Déchargeurs

3 Rue des Déchargeurs
75001 Paris

Metro: Châtelet (lines 1, 4, 7, 11, 14)
RER: Châtelet / Les Halles (lines A, B, D)

Contact
Adresse Courriel lesdechargeurs@gmail.com
www.lesdechargeurs.fr

Programme du Congrès International SHAKESPEARE 450

http://www.shakespeareanniversary.org/shake450/cultural-events/#bruno

Visuel du spectacle Candelaio

https://www.youtube.com/watch?v=7mXd5TdoTUo&feature=youtu.be


Info Candelaio et Il Gigante

http://candelaio.angelaantonini.it/

http://www.ilgigantecinema.com/main.php?IdPage=4&IdSubPage=2

Page Facebook Candelaio
https://www.facebook.com/pages/Giordano-Bruno-la-Commedia-Candelaio/219151558218107?fref=ts


Adresse Courriel Angela Antonini et Paola Traverso
candelaiogiordanobruno@gmail.com

Pour en savoir plus!

Presse 2

Antonini et Traverso, respectivement actrice et réalisatrice, font partie de la bande de courageux histrions qui ont osé mettre en scène dans notre pays cette œuvre révolutionnaire, même aujourd’hui. In particulier elles sont les seules femmes à l’avoir jamais fait.
(Giordano Bruno, deux femmes et une comédie clandestine di Federico Tulli, Cronache Laiche, 17 febbraio 20013)

Presse 3
Une œuvre brillante récupérée de l’oubli et remise en scène pour la première fois par deux femmes, Angela Antonini et Paola Traverso, au moyen d’une fusion originale entre recherche théâtrale, artistique et philosophique. A travers un jeu d’ombres, de métaphores et de travestissements, grâce à un langage irrépressible et antiacadémique, l’imagination s’élève comme faculté particulière de l’esprit humain, source d’erreur mais aussi d’accès à l’invisible nature des choses. (Giordano Bruno, comédien clandestin di Federico Tulli, Cronache Laiche, 17 febbraio 20013)
Presse 4
Mais où se trouve la grande modernité du Candelaio de Bruno, qui est totalement en phase avec le monde d’aujourd’hui? Elle se trouve dans la capacité de donner corps, chair à la complexité, non seulement de l'intrigue, mais aussi des relations entre les personnages et les lieux dans lesquels la scène se déplace, s’ouvre ou se ferme sur les différentes ruelles, églises et places de la ville de Naples. A cette complexité, Manfurio, récitateur d’aphorismes, ne sait pas répondre, il n’est pas le vrai maitre. Le maitre de la vie, ce sont les vicissitudes et, on pourrait dire aujourd’hui, l’intelligence collective de l’entière pièce du Candelaio est notre maitre.
(La modernité de Giordano Bruno dans sa comédie philosophique de Luisa Simonutti, Institut de l’histoire de la pensé philosophique et scientifique moderne- Conseil National de la Recherche (Ispf-Cnr).

 
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domenica 20 aprile 2014

Comunicati: I FARI, e altre storie al veleno | Teatro Koko 23-25 aprile

L'Associazione Culturale M.A.C.C.E. 
presenta 


 FARI 
e altre storie al veleno...


 23-24-25 aprile 2014 


 TEATRO KOPÓ 
Via Vestricio Spurinna, 47/49 – Roma





Dal 23 al 25 aprile è in scena al Teatro Kopó di Roma, “Fari, e altre storie al veleno...” . Interpretato e diretto da Paolo Giommarelli e Cristina Gardumi, lo spettacolo propone testi dell'autrice romana Micol Graziano (Premio Troisi 2013) e si articola in due parti: il corto FARI, già presentato con successo – e con il Patrocinio di Roma Capitale VII Municipio - alla Prima Edizione del Premio Millelire, nel gennaio scorso, e la lettura scenica di due racconti affilati ed agrodolci: Splat e L'esame. 

 FARI è un dialogo cinico ed incalzante attraversato da atmosfere metafisiche, dai contorni sfumati. Protagonista è una misteriosa coppia di amanti che fa ritorno a casa, in auto, dopo aver trascorso la notte in un elegante e affollato locale alla moda, in una metropoli non ben definita. I due, nel viaggio, mentre attraversano strade spettrali e complanari deserte, danno vita ad un duello di parole sprezzante e spietato dal quale affiorano ferite e desideri inconfessabili, pensieri acuminati simili a colpi di spada, meditati con sapienza per ferire e sedurre al contempo. Scrivono i registi Giommarelli e Gardumi nelle note: “Quanto è importante dire tutta la verità all'interno della relazione d'amore? Quanto peso ha il mistero che ognuno di noi porta invariabilmente dentro di sé, nell'alimentare la fiamma viva del rapporto? La curiosità nutre la fantasia e si scatena solo di fronte a ciò che pensiamo di non conoscere completamente, che crediamo ci nasconda almeno un segreto (...). Questo brevissimo spaccato di vita coniugale si può leggere in molti modi, ma quello che abbiamo voluto percorrere è forse il più imprevedibile, in cui la parola, piuttosto che affermare, nasconde (...). Quello che portiamo in scena è un tentativo estremo di ricostruire il desiderio attraverso il fantasticare, trasfigurando la realtà dentro un volo pindarico che rischia di sollevare sempre più in alto, solo per far precipitare ancora più brutalmente”. 

 Nella seconda parte radice quadrata di tutto è l'ironia, se in Splat è una mosca, tra gli insetti più sordidi, a raccontare al pubblico, e dunque ai suoi “quattro lettori”, le bassezze dell'essere umano, e il disagio di vedersi diverso. Infine nel monologo L'esame diventa necessaria una riflessione sul mondo della scuola e, da ultimo, inaspettatamente, sui professionisti del teatro. 

FARI, e altre storie al veleno... 
Testi di Micol Graziano 
interpretato e diretto da Paolo Giommarelli e Cristina Gardumi
luci: Mauro Buoninfante 
foto: Linamaria Palumbo e Fabrizio Caperchi 

 TEATRO KOPÓ 
23-24-25 aprile 2014 
ore 20.30 
Via Vestricio Spurinna, 47/49 (Metro Numidio Quadrato) 
Info e prenotazioni: 06 45 65 00 52 
Biglietto: 10 euro (spettacolo + aperitivo)

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venerdì 18 aprile 2014

Fight Club al Teatro Trastevere | Recensione

La regola vuole che non se ne parli. E questo basterebbe a molti per capire qual è l'argomento di cui parliamo. Ma l'argomento è troppo interessante perché rimanga nell'ombra e perciò dobbiamo parlarne. Perché Fight Club è una storia troppo forte perché si taccia. Un segreto difficile da tenere per gli stessi membri del Fight Club, il quale vedeva di sera in sera aumentare il numero di partecipanti. In questa sede non parleremo né del film, né tantomento dell'omonimo romanzo di Chuck Palahniuk che ha ispirato la pellicola diretta da David Fincher (sebbene molti conoscano il film e non il libro), bensì della versione teatrale andata in scena al Teatro Trastevere. Si tratta presumibilmente del primo esperimento italiano di una trasposizione teatrale. Altre versione di cui siamo a conoscenza sono state rappresentate in America e in Germania. A parte questo coraggioso tentativo della compagnia "Cattive compagnie" non abbiamo notizia di altri tentativi. Un approccio difficile quello al capolavoro di Palahniuk, perché forte è l'influenza che viene dal film, anche perché chi conosce entrambi capirà perfettamente il lavoro enorme che è stato fatto da Fincher per dare una linearità e un'organicità alla storia cinematografica, pur restando fedele all'atmosfera e il messaggio contenuti nel libro. Il libro è sostanzialmente irregolare ed anarchico nella sua narrativa, partire da esso è un lavoro enorme e da specialisti, perché è difficile avere una fotografia unitaria della storia. Lo spettacolo a cui abbiamo assistito prende spunto sostanzialmente dal film, sebbene troviamo spunti presenti nel libro, ma i quali non hanno trovato vita nel film. Questo è sicuramente positivo, perché riteniamo che debba essere il libro la matrice primaria da cui attingere. Il film dovrebbe essere magari un esempio per aiutarsi a trascrivere in una forma unitaria l'opera teatrale di Fight Club, anche perché cinema e teatro hanno linguaggi diversi e ad alcune scene crediamo possano avere ragione di esistere esclusivamente al cinema. Sette attori, di cui tre nei ruoli principali di Tyler, "Jack" o "Lui" e Marla, gli altri quattro usati come jolly per interpretare vari personaggi. La struttura resta sostanzialmente quella del film, così come la quasi totalità delle scene che tentano di farci tornare alla memoria le scene più emozionanti del Fight Club di Edward Norton e Brad Pitt.

Purtroppo il risultato non è entusiasmante, prima di tutto perché ci sembra che l'influenza sia stata fin troppo determinante nella costruizione dello spettacolo, a partire anche dalla scelta dei personaggi e degli attori, con cui si è cercato innanzitutto una verosimiglianza estetica o fisica ai due protagonisti del film. Si è cercato di interpretare Tyler Durden o Brad Pitt? Il Tyler di Brad Pitt è già esso una lettura, un'ipotesi, come si può fare un'ipotesi di un'ipotesi? E la stessa ricerca di abiti - la giacca di pelle rossa di Tyler - che richiamano il film è l'ennesima conferma di quanto quest'ultimo abbia determinato la rappresentazione. Troppo facile e riduttivo ricalcare. Tyler (Sebastiano Gavasso) è caricaturale, non convince, non affascina, ci ricorda piuttosto un esaltato di provincia più che un rivoluzionario anarchico che dovrebbe affascinare col suo pensiero libero e sregolato, ammaliare col suo carisma. Non pervenuto, lontano anni luce dal vero Tyler Durden che tutti ammirano. Più convincenti sono sembrati invece i due altri attori nei personaggi di "Lui" (Diego Migeni) e Marla Singer (Cecilia Cinardi), che hanno donato una concretezza e una verità propria ai loro personaggi. Per il resto, lo spettacolo ci appare molto distante dall'opera stessa di Palahniuk, non si percepisce il clima oscuro e decadente, il nichilismo, i messaggi che sarebbero dovuti passare non sono passati perché buttati via con troppa enfasi. Anzi, spesso lo spettacolo tende addirittura verso la commedia brillante per alcune gag che si è scelto di inserire, fin troppo caricate. Si è messo dentro troppo e troppo si è cercato di far vedere, mentre poco si è tentato di trasmettere o interpretare o rileggere: pensiamo ad esempio alla scenografia che, sebbene funzionale e intercambiabile, crediamo fosse per certi versi ininfluente; altre volte invece persino imbarazzante, come ad esempio nella scena dell'incidente dove viene fatto apparire il muso di un auto che ricordava un po' la macchina di Topolino. Quest'ultima scena è proprio quella a cui pensiamo quando diciamo che si è ricalcato il film: ricalcare è l'unica soluzione che si è trovata, possibile? Per concludere infine col chiudere un'occhio - il minore dei mali alla fin fine - sugli errori tecnici nei combattimenti. Tanti se, tanti ma, una scelta coraggiosa e innovativa, forse anche un'opportunità sciupata perché si è percorso un sentiero già battuto e troppo facilmente ricalcabile: quello del successo cinematografico di Fincher.

Matteo Di Stefano

FIGHT CLUB - LA PRIMA REGOLA
ispirato al romanzo di Chuck Palahniuk

regia Leonardo Buttaroni 
con Diego Migeni, Cecilia Cinardi, Alessandro Di Somma, Marco Zordan, Yaser Mohamed, Matteo Fasanella, Leonardo Buttaroni 
scenografia Paolo Carbone 
musiche originali Filarco 

visto al 

TEATRO TRASTEVERE
Via Jacopa de' Settesoli 3 - Roma
mail info@teatrotrastevere.it


 
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domenica 13 aprile 2014

COMUNICATI: SCIAPÒ | RASSEGNA DI TEATRO A CAPPELLO | TEATRO TOR DI NONA



                                           Vi invita tutti al
                                  TEATRO TORDINONA di Roma

Da martedì 15 a sabato 19 aprile, tutti i giorni alle ore 21.00
INGRESSO LIBERO, USCITA A CAPPELLO!

Martedì 15 LADYOSCAR
Mercoledì 16 IL MACERO
Giovedì 17 CYRANO
Venerdì 18 ROSA NURZIA
Sabato 19 LA PAROLA ‘MADRE’

Per le info su tutti gli spettacoli in rassegna www.sciapò.it
Per prenotare 06.7004932 | 349.1257101 | laura.belloni@hotmail.it

Td IX
TEATRO TORDINONA
Via degli Acquasparta, 16 (vicino a Piazza Navona)
TESSERA GRATUITA

Sciapò è una rassegna di teatro a cappello, l’unica dove il biglietto non si paga prima, ma dopo lo spettacolo, e solo in base al gradimento. È nata con un duplice obiettivo: dare visibilità a compagnie che nei circuiti ufficiali non riescono a entrare, ma che uno spazio lo meriterebbero; riportare a teatro i meccanismi della Commedia dell’Arte, dove il pubblico era non solo fruitore, ma anche giudice e sovrano assoluto.
Per fare in modo che il teatro sia prima di chi lo vede che di chi lo fa!

IL PROGRAMMA!

Martedì 15
LADYOSCAR
Drammaturgia e regia di Ferdinando Vaselli
Con Alessia Berardi e Riccardo Floris
Musiche di Sebastiano Forte
Uno spettacolo della compagnia 20CHIAVITEATRO
Vincitore del premio Troia Teatro Festival come miglior spettacolo
→SINOSSI | Due ragazzi, la cocaina, la periferia. Non sappiamo come si chiamino, sono Coso e Cosa, semplicemente “amò”. Sono in casa, nella brutta periferia di Roma, emblema di tutte le periferie d’Italia. Sono fatti, sempre. Restano immobili. Si parlano addosso. Litigano per la dose, per la roba, per quel barista che ci ha provato. Litigano per un figlio che forse arriverà. Vagheggiano. Si muovono solo le loro parole, che si fanno traccia di qualcosa che non riusciamo a vedere, loro restano imprigionati nell’attesa di un futuro migliore, nella speranza di un cambiamento miracoloso, aspettando di vivere.

Mercoledì 16
IL MACERO
Liberamente tradito da “Sandokan – storia di camorra” di Nanni Balestrini
Scritto, diretto e interpretato da Roberto Solofria
Uno spettacolo della compagnia MUTAMENTI/TEATRO CIVICO14
→SINOSSI | Il Macero è la storia di un ragazzo, della sua insolita sensibilità, della sua ottusa caparbietà nel cercare per sé stesso una strada diversa dalla delinquenza, del suo disagio, nei confronti della sua terra, dove ormai l’attitudine al delitto è ampiamente sdoganata, della sua rabbia. Lo spettacolo non indugia sulle gesta dei camorristi, ma su una scelta etica: rifiutare l’omertà, abbandonare la propria terra per non tornarci mai più, scegliere di non vivere in un luogo in cui la morte fa da sfondo alla quotidianità e dove il cartello con la scritta “Benvenuti” è pieno di buchi di proiettile.

Giovedì 17
CYRANO
Liberamente tradito dal ‘Cyrano De Bergerac’ di Rostand
Scritto e diretto da Lorenzo De Liberato
con Tiziano Caputo, Matteo Cirillo, Fabrizio Milano, Giordana Morandini, Stefano Patti, Mario Russo
musiche originali di Tiziano Caputo
uno spettacolo della compagnia MARABUTTI
→SINOSSI | Cyrano de Bergerac, ammirato e temuto per la sua infallibile spada e per i suoi motti spiritosi e taglienti, essendo afflitto da un naso mostruoso, non ha il coraggio di manifestare alla cugina Rossana il suo amore per lei. Costei, ignara dei sentimenti del cugino, lo prega di prendere sotto la sua protezione il giovane Cristiano de Neuvillette del quale è innamorata. Poiché questi non riesce ad esprimere in belle frasi il suo sentimento, Cyrano gliele suggerisce e fa in modo che Cristiano possa sposare Rossana. Dopo quattordici anni, Rossana riceve la visita di Cyrano che, morente, gli racconta la storia del taciuto amore per lei.

Venerdì 18
ROSA NURZIA
Scritto e interpretato da Ciro Esposito
Diretto da Valentina Carbonara
Uno spettacolo della compagnia ESPOSTI
→SINOSSI | Rosa Nurzia è l’attimo prima della fine, un’esplosione bloccata. Dalle parole di Rosa dipende tutto. Se non racconta, il suo mondo non può finire. Se non racconta, non può accorgersi che il suo mondo è finito. Rosa è immobile sulla sua sedia, fieramente barricata nell’unico spazio consentito al suo essere vecchia e definitivamente sola. Entrare nella sua casa è come dare l’ultimo saluto a un mondo in decomposizione. Rosa ha una storia da raccontare con la sua lingua antica e forte e con il suo corpo incerto, nervoso, che non sa più rialzarsi da solo. Una storia reale, privata, fatta di piccole cose, che fa ridere e che per questo fa male.

Sabato 19
LA PAROLA ‘MADRE’
Libero tradimento da “Emma B. vedova Giocasta” di Alberto Savinio
Scritto e diretto da Luigi Imperato e Silvana Pirone
Con Fedele Canonico, Domenico Santo, Salvatore Veneruso
Uno spettacolo della compagnia Teatro di Legno
→SINOSSI | Una notte dopo quindici anni di assenza, Emma B. incontrerà suo figlio. È una notte di attesa, ma anche di festa. Alberto Savinio immaginava la sua protagonista sola in scena, in un monologo allucinato; noi le affianchiamo due personaggi che, insieme a lei, danno vita ad una danza dell’attesa e nello stesso tempo si fanno narratori-testimoni di un segreto profondo e impronunciabile: l’incesto compiuto dalla protagonista per sottrarre il figlio a un’ispezione nazista. La condanna dell’incesto resta sulla soglia dell’ambiguità: Emma infatti è madre, ma sembra riconoscere nel figlio il suo uomo, il suo complemento.

Info e contatti:
www.sciapò.it | www.facebook.com/rassegnaditeatroacappello
laura.belloni@hotmail.it | 3491257101

Tutti gli spettacoli proposti non sono tutelati dalla SIAE.
Sciapò è un marchio registrato.


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sabato 12 aprile 2014

Danni a Capodanno - Teatro Trastevere, Recensione

Stanislaskij sosteneva che il risveglio sarebbe scaturito in un ambiente di dilettanti e non negli ambienti sclerotici e scettici dei professionisti. Tra le due forse noi siamo meno scettici che sclerotici, ad ogni modo ci piace perlustrare la palude, laddove i "senzanome" del teatro aprono il sipario, senza l'attenzione dei grandi a caccia di talenti (quando mai!), dei giornali, degli intellettuali. Essi si autoinfliggono pene ben maggiori, si martirizzano con elucubrazioni da teatromani. Invece in qualche modo bisogna avere anche il coraggio di scoprire, perché crediamo che se si prendessero da diversi punti della città i tanti attori e registi senzanome impegnati sulla scena, questi potrebbero formare davvero un bel gruppo. Invece, ancora, ABC che costituirebbero davvero un bell'insieme si trovano divisi. Così siamo tornati al Teatro Trastevere a distanza di un anno, per vedere il nuovo spettacolo della compagnia chièdiscena, per la direzione di Marta Iacopini. La Iacopini è uno di quegli elementi che a nostro parere fa parte di quell'insieme ipotetico di cui parliamo. Le regie della Iacopini, come abbiamo più volte avuto la fortuna di osservare, sono sempre il frutto di un'idea che si compie (cosa naturale quando si parla di regia, ma non scontata quando si esce fuori dal giro dei teatri importanti. Più facile trovare qui attori dotati ma sfortunati che veri registi). Un ritorno ad Ayckbourn, (il primo cui assistemmo fu Camere da Letto, poi si passò per Due partite e Questa sei tu), con la commedia farsesca Danni a capodanno (Absurd singolar person) ). Un scelta fatta anche di leggera di leggerezza, data la scoloritura del lato tragico già dal titolo. Lo stesso dicasi per la messa in scena, che non nasconde punti di analisi della commedia, ma che li riveste di  un gioco farsesco e fumettistico. Danni a capodanno  si focalizza su tre coppie: Sidney Hopcroft, un commerciante ambizioso e sua moglie sottomessa Jane; l'architetto adultero Geoffrey Jackson e sua moglie depressa, Eva; Ronald Brewster-Wright, un banchiere e sua moglie alcolista Marion. Le tre coppie vengono fotografate in tre diversi quadri, tre capodanni, tre istanti temporali, tre diverse cucine, che mostrano con cinismo l'evolversi dei rapporti e delle relazioni. L'obiettivo è puntato sulla coppia non in quanto tale, ma come istituzione centrale della società moderna all'interno della quali si manifestano tutte le tensioni più egoistiche dell'individuo, il punto di partenzaessa per conquistare la propria riconoscibilità ed edificare la propria maschera. Farsa e tragedia sono i due lati della stessa medaglia e questa commedia sfrutta al meglio questa dicotomia della vita. 


La regia della Iacopini sceglie come proprio punto focale il ritmo, ma non inteso propriamente come ritmo scenico - nelle note si parla di ritmo vorticoso della società - ma, sebbene lo spettacolo risulti abbastanza frizzante, di ritmo interno dei personaggi. Infatti sono i tre diversi ritmi interni delle coppie a scandire il tempo: il ritmo funambolico e imperioso di Sydney Hopcroft, spinto dal proprio arrivismo affarista che fagocita la sottomessa Jane e in modo diverso i due altri uomini; il ritmo a tinte tragiche, grige, dal rumore sordo e pieno di pause di Geoffrey e Eva; infine quello della coppia Ronald Brewster-Wright e la moglie Marion che è persino aritmica o un antiritmo perché la relazione tra i due è praticamente nulla. Il ritmo diventa così la macchina della vita, non più il mezzo ma il fine che porta alla distruzione stessa della vita e dei suoi elementi. In questa struttura generale ci sono alcune valide intuizioni sceniche, l'utilizzo della scenografia che riesce a modificarsi ricreando le tre cucine, la precisione con cui i tempi attoriali vengono amalgamati. A livello recitativo viene dato un ampio risalto alla differenza tra gli Hopcroft e le altre coppie. Un contrasto che forse spiazza un po', tanto da far apparire a volte gli Hopcroft degli intrusi indesiderati (e lo sono certamente per le altre coppie) provenienti da un altro genere artistico, caratterizzati da tinte forte sia negli abiti che nella recitazione, frenetica, grottesca, esagerata; da contraltare le altre due coppie che ricalcano uno stile più in linea con canoni naturalistici. Un contrasto antinaturalismo/naturalismo che mira forse ad evidenziare i tratti privi di umanità di Sydney Hopcroft, il più amorale tra i personaggi, senza scrupoli morali di alcuni tipo e il cui unico scopo è conquistare un posto di prestigio nel mondo, anche a scopo di essere spietati e approfittare delle altre persone. Tuttavia la goliardia scenica mette meno in risalto questo aspetto di Hopcroft, che diventa agli occhi del pubblico un personaggio più simpatico di quanto in realtà non fosse. La mano della Iacopini è sempre delicata e precisa, tesa da un cast che ormai si conosce quanto fratelli e sorelle, anche se poi abbiamo più vivi ricordi di vecchi spettacoli, più convincenti ed incisivi. Qui la bottiglia col messaggio s'è fermata poco prima della riva.

Matteo Di Stefano

DANNI A CAPODANNO da Absurd Singular Person di A. Ayckbourn
adattamento e regia Marta Iacopini
con Alessandro Di Tommaso, Francesco Del Verme, Giovanna D'Avanzo, Daniele Trovato, Cristina Longo, Guido Lomoro
 

Voci fuori campo: Paola Lutrario e Mario Rosati

dall'8 al 13 aprile presso


TEATRO TRASTEVERE
Via Jacopa de' Settesoli, 3 - Roma

info e prenotazioni: 333 3256289 

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